Partir à l’étranger: just do it

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L’article de Libération : « Jeunes de France, votre salut est ailleurs, barrez vous » et la polémique qui s’en est suivi traite de l’avenir de la France. Je le pense sincèrement, contrairement aux messages de sinistrose ambiant la France est un grand pays au potentiel extraordinaire (lire aussi cet article). La France dispose d’un potentiel touristique et culturel exceptionnel. L’image de valeur perçue de la France est exceptionnelle – les vins Français, le parfum, le côté gentleman et romantique – être Français est une des meilleures cartes de visite qui existent. Mais malgré tout, la France gâche son potentiel par l’absence d’action, de réforme, rêvant de son « âge d’or » des 30 glorieuses… Le monde change, et comme on ne change pas, notre modèle économique et social est amené à stagner ou à régresser à l’avenir (lire aussi ce dossier sur les retraites)

Une situation tendue

24% des jeunes sont au chômage en France. On est loin de l’Espagne et de la Grèce – 55% – ou même de l’Italie – 35% – mais la situation est peu reluisante. CDD, stages, rémunération au lance-pierre. Dès lors, on peut critiquer le système et se dire qu’il est injuste ou chercher à tirer son épingle du jeu. C’est le message que j’essaie de faire passer.

Souvent, on me dit : « je cherche un emploi », et je me demande : « pourquoi faire ? Trouver un client est souvent bien plus facile que trouver un recruteur ». Monter son business est une chose, partir à l’étranger est une autre. De plus en plus de connaissances partent à l’étranger, souvent dans des pays émergents pour tirer leur épingle du jeu. Je pense notamment à :

– L’ami de mon coloque, entrepreneur au Chili

– Le regroupement massif de blogueurs en Colombie et en Thaïlande

– Moi-même, parti en Chine


Pourquoi tenter votre chance à l’étranger ?

Rien qu’à Beijing, il y a 15 000 Français qui vivent… Leurs activités sont multiples. Autour de moi, je fréquente :

–  Un manager de maternité (mon colloque)

– Un chercheur en post-doctorat parti en Chine, « un pays d’avenir » selon lui

– Ma copine, partie pour la même raison en Chine que mon ami chercheur

– Un journaliste

– Des VIE travaillant pour de grandes entreprises Françaises

– De nombreux professeurs d’anglais

Les raisons sont multiples de partir à l’étranger. Que ce soit par amour, par opportunité, pour l’aventure, partir à l’étranger est sympa. Après la Chine, ma copine veut aller au Brésil. Un ami à moi veut partir au Brésil également… Pour en savoir plus, vous pouvez consulter mon blog sur la chine

Partir à l’étranger, c’est compliqué

Partir à l’étranger, c’est compliqué vous pouvez penser. Peut-être moins. Si vous avez une famille ou un emprunt immobilier sur le dos sans doute. Mais pour les autres, c’est extrêmement simple :

– Vous demandez un passeport

– Vous demandez un visa

– Vous achetez un billet d’avion

Et c’est tout… C’est le début de l’aventure…

Oui, mais, comment je fais pour me débrouiller là bas ? Je ne parle pas la langue locale ? Je ne connais personne ? Je fais comment pour vivre ?

Quand je suis parti en Chine, voici les ressources à ma disposition :

– Aucun logement

– Aucune connaissance de Chinois (je savais juste dire « Bonjour »)

– Aucun ami sur place

– Moins 15°C dehors

– Aucun travail sur place

Bref, que des conditions très favorables me direz-vous… Bah en fait, si vous aimez le challenge, ce n’est pas si difficile que cela, ce n’est qu’autant de mioni-challenge à surmonter. Explications :

1) Le logement

Arrivant en Chine, ne parlant pas un mot de Chinois, j’ai consulté un site anglophone, The beijinger.com. En 2-3 jours, j’ai trouvé un logement en colocation. Contrairement au délire français, pas besoin de caution, de gagner 3 fois les revenus du loyer… Il suffit de payer et on a les clés d’un logement. Il est plus facile de trouver un appartement en Chine sans parler Chinois qu’un appartement à Paris en parlant Français…

2) Se débrouiller sur place

Je ne parlais que 1 ou 2 mots (bonjour et merci) en Chinois en arrivant. Bah, j’ai vite appris à me débrouiller (9 trucs pour survivre en Chine), et après, j’ai pris des cours de Chinois. En école et avec des partenaires de langue. Au bout de quelques semaines, je parlais suffisamment en Chinois pour me débrouiller dans la vie de tous les jours. Maintenant, j’apprends plus intensivement le Chinois. Je connais déjà 100 à 120 caractères Chinois (mon but : en connaître 200 à court-terme et plus quand je quitterai la Chine) et pas mal de vocabulaire.

Bref, la langue n’est pas un problème si vous êtes motivé et patient.

3) Se faire des amis

Se faire des amis est extrêmement facile à l’étranger. La base même de l’amitié est d’avoir des points commun. Le seul fait d’être étranger suffit à sympathiser avec d’autres étrangers et de pouvoir ainsi briser la glace. Bilan : si vous êtes un peu ouvert, allez aux soirées proposées sur les sites comme Bonjour chine et autre, tout se passe bien. Je me suis fait plus d’amis en 1 mois à Beijing qu’en 6 mois à Paris, que ce soit des étrangers ou des Chinois.

Quant aux petites amies, si vous partez célibataires, il est généralement très peu difficile de trouver quelqu’un si vous dites que vous êtes français…

4) Trouver du travail sur place

Dans de nombreux pays comme vous pouvez le voir sur le site Numbeo, la vie est peu chère comparé à la France. En l’occurrence, à Pékin, je dépense par exemple 75 euros par mois de loyer (chauffage inclus), 3 euros par mois d’électricité, le ticket de métro coûte 0,20€ et celui de bus 0,05€ et le prix de base de taxi est de 60 centimes puis 20 centimes du kilomètre… Bon c’est car je vis loin de Pékin en colocation avec un ami, mais bon, grosso modo, je vis très bien à Pékin en dépensant 700 euros par mois.

Ma copine, elle paie 3 fois plus de loyer pour un logement 3 fois moins confortable, mais bien mieux situé… mais ceci étant, étant moins dépensière que moi, elle parvient à vivre correctement pour 500 euros par mois.

Bref, il suffit de gagner 500 à 700 euros par mois pour vivre correctement dans bien des pays si vous adoptez un mode de vie un peu low-cost – pas de voiture, colocation. Mais vous vivez bien avec ca : avec 700 euros par mois, l’essentiel de mes repas se font au fast-food ou au restaurant. En 2 semaines, je n’ai cuisiné qu’une fois… Le menu Big Mac coûte 2 euro., tout comme le menu au resto Chinois au pied de mon immeuble. La bouteille d’eau est vendue 15 centimes d’euros au resto… Le taxi pour rejoindre la salle de sport coûte 1 euro. La salle de sport où je vais coûte 2 euro pour entrer… Mon colloque et moi (mais aussi de nombreux Chinois) allons en taxi au supermarché. Cela nous revient à 1 euro par personne aller/retour…  Et quand je veux aller à Pékin, situé à 30 km, j’ai le choix entre le bus (50 centimes), le taxi collectif (4 euros) ou le taxi individuel dans le pire des cas (12 euros)…

Or, gagner sa vie est assez facile à Pékin. Le seul fait d’être blanc vous permet de mieux être payé que les locaux. Mais surtout, vous pouvez trouver un boulot facilement, notamment en tant que prof d’anglais ou de français.

Etre prof à Pékin : un bon job

Un professeur particulier en anglais gagne généralement entre 100 et 200 yuans de l’heure, soit 12 à 25 euros de l’heure. Pour info, si vous travaillez 2 heures à 150 yuans de l’heure, voici ce que vous pouvez vous offrir :

– 1 massage d’une heure

– 20 tickets de métro

– 20 trajets en bus

– 2 semaines de téléphonie mobile

– 1 coupe chez le coiffeur

– 5 menu à Mc Donald’s

– 3 courts trajets en taxi

Vous pouvez aussi vous payer un billet de train de nuit pour Shanghai (1 300km) en DEUX HEURES de travail. Un petit week-end comme celui à Pingyao nécessite à peine 1 journée de travail pour se financer… Alors qu’à Paris, il m’aurait fallu travailler une semaine pour financer un week-end…  Un ami de ma copine gagne environ 15 000 yuans (1 800 euros par mois) en travaillant 25 heures par semaine. De façon générale, 10 heures de travail par semaine sont suffisants pour vivre à Pékin. Et la demande est largement supérieure à l’offre de professeurs disponibles. De nombreuses écoles sont prêtes à payer 15 à 25 euros de l’heure. Quant aux pleins temps, les conditions sont souvent les suivantes :

–  1 000 à 2 000 euros de salaire mensuel

– Logement payé par l’école

– Nourriture payée par l’école

– Billet d’avion aller/retour payée par l’école

Opportunités des pays émergents

Mais il n’y a pas que l’enseignement bien sûr. Mon colloque dirige une maternité, soit une équipe de 35 personnes. A28 ans. Un autre, plus jeune, manage une boîte de panneau solaire. Un autre est journaliste, d’autres bossent dans des entreprises françaises…  Les opportunités ne manquent pas, quel que soit votre âge. La Chine a beau être un pays en développement, je sens une vraie confiance dans l’avenir. Partout où je vais, je vois des grues construisants des gratte-ciel (un de 600 mètres de haut à Pékin) ou des travaux en raison de la construction de 8 lignes de métro… Je vois les Chinois jouer avec leur iPad ou leur iPhone dans le métro…  Les 70 000 taxis de Pékin (7 fois plus qu’à Paris) sont toujours pleins. Le taxi est une commodité, cela reste très bon marché même pour les chinois. Les restaurants sont toujours pleins… Les salaires augmentent de 20% par an… La confiance dans l’avenir…

Quant aux étrangers, la majorité des Français que je connais gagnent entre 1 500 et 2 500 euros par mois, dans un pays où la vie coûte 2 à 3 fois moins cher qu’en France…

A Beijing, si vous envoyez des CV, il suffit d’envoyer quelques CV pour obtenir les premières réponses positives dans les quelques jours qui suivent… parfois dans l’heure qui suit…  Bien différent de Paris…

Conclusion

Face à la crise dans laquelle s’empêtrent les pays du vieux monde, pourquoi ne pas partir à l’étranger comme le suggérait Libération ? En partant à l’étranger, vous pouvez notamment :

– Partir à l’aventure

– Apprendre une nouvelle langue

– Vivre très confortablement (coût de la vie faible)

– Cadre de vie agréable : soleil, cuisine différente…

Beaucoup de gens pensent qu’il est difficile de partir à l’étranger. C’est complètement faux. Le prix des transports est bas, Skype et Facebook permettent de garder le contact, certaines de vos compétences (anglais, français) ont une grande valeur à l’étranger. Pour le reste, vivre à l’étranger n’est pas si difficile. Apprendre une langue est possible, et on peut toujours se débrouiller autrement. Trouver un logement et un travail aussi. Alors juste une chose à dire : si jamais l’aventure vous tente, cessez de vous donner de fausses raisons et just do it.

Au pire si vous n’aimez pas, rien ne vous interdit de rentrer à la maison… Et l’aventure vous rendra plus débrouillard, ouvert au monde. Ajoutez les rencontres, les voyages, et tout le reste… Alors avez-vous envie de partir à l’étranger ?

21 réponses

  1. fabrice
    |

    Tiens, justement, je vais aussi publier un article sur leur appel.
    Leur message est sympa, mais trop manichéen, ils ne parlent pas de certains aspects…

  2. martin
    |

    Je ne comprends pas ton message, tu peux préciser? Tu commente mon article ou celui de Libé? Et Libé t’a contacté?

    A bientôt 🙂

  3. Julien
    |

    Salut Martin,

    Je te soutiens totalement dans ta démarche de motiver les personnes à partir à l’étranger. C’est comme le service militaire, cela devrait être obligatoire !!

    Personnellement, c’est la meilleure chose qui me soit arrivée et aussi l’année la plus heureuse de ma courte vie.

    Cela demande un peu d’audace de partir à l’aventure, mais quel bonheur une fois sur place !

    Partir à l’étranger, on en demande !

    A+

    Julien

  4. DavidB_iRiche.com
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    Libération c’est bien ce journal grand défenseur des devoirs des autres qui insulte les gens riches qui veulent se barrer ? 🙂

  5. martin
    |

    @Julien: Merci à toi, mais je ne suis pas d’accord sur le caractère obligatoire, tout dépend de la personnalité et des objectids de chacun non? A bientôt et merci pour tes encouragements 😉

    @David: J’ai en effet trouvé cela très vulgaire, digne des tabloïdes de la perfide Albion d’atteindre un tel niveau de bassesse. Je comprends la réaction de l’intéressé. Certains dirons qu’un autre ne s’était pas gêné pour insulter « casse toi pauvre con » sauf qu’à la base c’était en privé. Alors que de la part d’un journal… Enfin bon on est tous les deux d’accord dessus je pense 🙂

  6. Nadège
    |

    Salut Martin,

    C’est vrai qu’il n’est pas toujours facile de partir à l’étranger. A cause de blocages psychologiques et peut être aussi financiers certaines renoncent à l’expérience extraordinaire qu’est la vie dans un autre pays.

    Et pour ceux qui partent, une fois qu’on a goûté à la vie d’expat c’est pas facile de retrouver sa petite vie tranquille en France… Et on repart 🙂

    Pour moi, le monde est tellement grand que c’est dommage de ne pas voir plus loin que le palier de sa porte… après on peut aussi voyager sur de courtes périodes. C’est moins compliqué mais l’immersion n’est pas la même !

    En tout cas, article intéressant !

    A bientôt,

    Nadège

  7. martin
    |

    @Nadège: Il n’y a pas besoin d’être riche pour partir à l’étranger. Cela coûte moins cher de partir dans de nombreuses contrées exotiques que de déménager à Paris par exemple.

    Quant à la vie d’expat, tu as raison. La où je vis, quand j’ai faim, je descends au petit resto. En moyenne, je paie 1,5 à 2€ par repas, du coup, je ne cuisine presque plus, en France, les restos quotidiens me manquent 🙂

    Pour les voyages courte durée, c’est sympa mais l’expérience est moins enrichissante, les interactions avec les locaux est plus limitée.

    A bientôt et merci pour ton retour, et profite bien de la vie à Miami 🙂

    Martin

  8. Jos
    |

    Super cet article! Je me pose parfois la question de partir travailler à l’étranger… Cela comporte une certaine part de risques! Merci pour cet article qui nous donne des pistes intéressantes pour gagner de l’argent. Je ne savais pas que donner des cours de langues pouvaient être aussi rémunérateur.

  9. martin
    |

    Effectivement, sans compter qu’on n’est pas chez soi non plus. Ravi que l’article t’ai plu 🙂

    A bientôt

    Martin

  10. La dette: ce boulet |
    |

    […] Certains diront : oui mais c’est difficile de partir à l’étranger, je ne peux pas… C’est faux, il suffit de le faire. Just do it. Je suis parti sans rien à Pékin. A Pekin, on trouve un logement ou un travail en quelques jours (voire en quelques heures, je ne plaisante pas, ma copine reçoit souvent des réponses positives quelques heures après envoyé son CV), et pour le reste, il suffit d’être un peu débrouillard. Lire aussi : Partir à l’étranger : just do it […]

  11. Fabrice@Costa Rica
    |

    Encore un bon article bien motivant, tu devrez donner des cours de motivation 🙂

    Je suis d’accord avec ta copine, après la Chine, le Brésil est l’autre pays où il faut se trouver pour les opportunités. Je devais apprendre le Chinois cette année à la fac mais je vais devoir me rabattre sur une autre langue… le portugais.

    Sinon, au niveau sécurité ça se passe comment en Chine, tu as déjà eu des problèmes?

  12. martin
    |

    Peut-être 🙂 Ou une formation?

    Pour le portugais n’hésite pas à me tenir au courant concernant ton apprentissage. Et niveau sécurité, la Chine est un pays plutôt calme dans l’ensemble.

    A bientôt

    Martin

  13. Fabrice
    |

    Je suis loin d’être un fan de Libé, mais pour le coup j’ai trouvé que l’article appuie bien là où cela fait mal.
    C’est bien en phase avec la discussion que l’on a eu ensemble il y a quelques jours.
    J’ai une fille qui vient d’avoir 9 ans et même si je ne cherche pas à la conditionner (il faut qu’elle profite à 100% de son enfance), je peux te dire que je commence à la préparer doucement mais surement à la mondialisation.
    Elle commence à apprendre l’Anglais, je l’ai emmené plusieurs fois à l’étranger afin qu’elle découvre d’autres cultures, je l’initie en mode soft aux nouvelles technologies.
    Peux-être que dans 15 ans elle me dira qu’elle veut rester dans son pays, mais si elle décide de tenter sa chance à l’étranger (ce qui risque d’arriver), je veux avoir mis toutes les chances de son côté.

  14. […] Il existe des programmes pour pouvoir partir à l’étranger. […]

  15. Martin
    |

    Moi non plus, surtout que le marketing à buzz pourquoi pas mais lorsque cela se fait en insultant quelqu’un… Tu as raison il faut que ta fille profite de son enfance, mais elle peut le faire de manière positive. Des voyages à l’étranger, apprendre à jouer de la musique ou du théatre ou équitation (enfin ce qu’elle aime), ou encore faire des activités inéressantes.

    Mieux que la laisser devant la TV maintenant mais à l’avenir aussi. On se reskype un de ces 4?

    A bientôt

    Martin

    • Fabrice
      |

      Je te confirme qu’il n’y a pas de TV à la maison.
      On n’est pas en mode « monastère » mais sur ce point j’ai mis un veto 😉

      Sinon une petite anecdote concernant ton titre d’article.
      Ces deux dernières années j’ai deux stagiaires qui sont venues faire une mission de 6 mois dans mon département.
      Les deux venaient de la même école de commerce et en apparence avaient le même profil.
      Sauf qu’il y en avait une prête à saisir toutes les opportunitées, et l’autre qui avait des exigences assez élevées (salaires, localisation…).
      La première a accepté un stage dans une boite de jeux vidéos en Inde (on a vu plus simple comme pays pour partir à l’étranger). Depuis elle a été embauchée, gagne super bien sa vie et s’éclate comme une folle.
      L’autre a décliné deux propositions de job en province (son attachement à la vie parisienne était apparemment trop fort) et est actuellement au chômage.
      CQFD.

      Ok pour un prochain Skype. Tu me diras comment avancent les derniers projets dont tu m’as parlé.

  16. martin
    |

    Pas la TV c’est un peu extrême non? Un minimum de TV est bien ne serait-ce que pour ne pas que ta fille soit perdue dans les discussions de films ou de séries à la récré?

    Sinon pour ton histoire, la chance sourit aux audacieux. Mon colloc m’a fait lire une citation de Benjamin FRANKLIN: « Il y a bien des manières de ne pas réussir, mais la plus sûre est de ne jamais prendre de risques. »

    Je pense que la vie est un jeu et il faut essayer de nouvelles choses sans avoir forcément un retour sur investissement. Mon coloc démissionnera prochainement pour lancer un projet e-commerce, je me lance dans le Chinois, le e-commerce, dans une chaîne YouTube… 🙂

    A bientôt

    Martin

  17. Fabrice
    |

    Mon véto se limite à la TV.
    Pour le reste elle a une énorme collection de dessins animés, elle peut aller piocher dans notre DvDthéque les films/séries de son âge et on l’emmène au ciné 1 à 2 fois par mois.
    Elle a de la matière pour les discussions à la récrée 😉

    Sinon j’aurai des questions à te poser à l’occasion sur la chaîne YouTube en particulier et les vidéos en général

  18. martin
    |

    OK merci pour la réponse. et ok pour YouTube, tu te connecte quand sur Skype?

  19. Fabrice
    |

    Je te recontacterai probablement fin octobre.
    J’ai de gros dossiers sur le feu au bureau qui devraient bien m’occuper les prochaines semaines.

    Je prévois un bloc-note pour notre prochaine session 😉

  20. martin
    |

    OK avec plaisir. A bientôt 🙂